15 janvier : visite de la Fondation DOSNE-THIERS
« Dans le quartier de la Nouvelle Athènes, l’agent de change Alexis Dosne acheta, en 1832, une propriété située place Saint-Georges. Adolphe Thiers épousa sa fille aînée, Élise (Élise Thiers), en 1833. C’est en ces lieux qu’il écrivit son Histoire du Consulat et de l’Empire.
L’hôtel fut détruit en mai 1871 sous la Commune de Paris et reconstruit entre 1873 et 1875 par l’architecte Alfred-Philibert Aldrophe1. La belle-sœur de Thiers, Félicie Dosne, l’offrit en 1905 à l’Institut de France « pour qu’il soit affecté à la création d’une bibliothèque moderne et plus particulièrement d’histoire de France ».
Pendant la Première Guerre mondiale, l’hôtel fut transformé par l’Institut en hôpital militaire pour accueillir les blessés de guerre, sous l’administration de l’académicien Frédéric Masson (1847-1923). Le bâtiment fut rendu ensuite à sa vocation de bibliothèque.
À sa mort, Frédéric Masson, historien spécialiste de l’histoire napoléonienne, légua à la Fondation ses manuscrits (796 cartons), dessins (1 000), estampes (30 000), livres (70 000) ainsi que sa collection d’objets et de tableaux (plus de 2 000), principalement consacrés au Premier Empire.» Source Wikipédia
http://www.institut-de-france.fr/fr…
17 Février : Musée Victor HUGO
« C’est en 1832 que Victor Hugo quitte avec sa famille la rue Jean-Goujon pour un appartement de 280 m2 situé au deuxième étage de l’hôtel de Rohan-Guémené – ou hôtel de Lavardin – qu’il loue à sa propriétaire Mme Péan de Saint-Gilles par l’intermédiaire du gendre de cette dernière, le notaire Bellanger.
Il y connaîtra seize années de vie mondaine, politique et familiale.
Durant son séjour en ces lieux, il reçoit ses amis Lamartine, Alfred de Vigny, Alexandre Dumas, Honoré de Balzac, Prosper Mérimée ou encore Sainte-Beuve, et y vit le mariage de sa fille Léopoldine puis le drame de Villequier en 1843.
Dans le cabinet de travail, il écrit plusieurs de ses œuvres majeures : Lucrèce Borgia, Les Burgraves, Ruy Blas, Marie Tudor, Les Chants du crépuscule, Les Voix intérieures, Les Rayons et les Ombres, une grande partie des Misérables, le début de La Légende des siècles et des Contemplations.
Durant son séjour, il est élu à l’Académie française, nommé Pair de France, puis député de Paris1. » Source Wikipédia
http://www.linternaute.com/musee/72…
Ce musée vient d’être rénové.
8 Mars : Musée 1900 Art Nouveau de Pierre CARDIN
Pierre Cardin propriétaire depuis 1981 du restaurant Maxim’s, symbole de l’art nouveau, collectionne depuis 60 ans les chefs d’œuvres les plus caractéristiques de la belle époque. Plus de 550 pièces venues du monde entier, signées des plus prestigieux créateurs tels que Majorelle, Tiffany, Gallé, Massier… sont enfin présentés au public.
Pierre Cardin a recrée l’appartement d’une grande courtisane sur trois étages de son établissement classé monument historique. C’est en partie grâce à ces dames que Maxim’s est entré dans l’histoire de Paris, Prince, Roi, Duc Ministres tout le gotha international a participé aux grandes heures de ce restaurant. Source Musée 1900 Pierre Cardin http://www.canalacademie.com/ida848…
http://maxims-de-paris.com/fr/le-mu…
14 avril : Musée des ARTS et METIERS
Les (Beaux ) Arts et les Métiers « L’Art au Musée des arts et métiers ? Ce musée riche de plus de 80 000 objets retraçant le génie humain en terme d’inventivité et d’ingéniosité offre des parallèles surprenantes témoignant des liens étroits qu’entretiennent arts et techniques depuis des siècles.
Souvent, les frontières entre « Art » et « Métiers » sont perméables. Si certains objets, de par leur dimension esthétique deviennent des œuvres d’art, les innovations en terme de techniques et de matériaux ont nourri – et continuent à nourrir – les artistes modernes et contemporains. » Source Arts et Métiers
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C…
19 mai : Musée de la Vie Romantique
Le musée de la vie romantique est situé dans le quartier de la « Nouvelle Athènes » du 9e arrondissement à Paris. Il est installé au nº 16 de la rue Chaptal, dans l’hôtel Scheffer-Renan, ancienne demeure du peintre d’origine hollandaise Ary Scheffer et foyer d’inspiration romantique durant la première partie du XIXe siècle.
Au rez-de-chaussée du pavillon construit en 1830, le musée expose les souvenirs de la romancière George Sand, qui venait en voisine rendre visite au peintre. Les salons y restituent son art de vivre avec des peintures, dessins, sculptures, meubles, bijoux et objets de vitrine provenant de sa demeure de Nohant en Berry et légués en 1928 avec usufruit à la Ville de Paris par sa petite-fille, Aurore Lauth-Sand.
À l’étage, les salles évoquent la mémoire d’Ary Scheffer comme de ses contemporains – et du philosophe Ernest Renan, devenu son neveu par alliance. Source Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C…
17 juin : Croisière sur le Rhône avec Croisi-Europe à bord du Camargue